Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Pleure, tu pisseras moins.

3 juillet 2012

Ah ben tiens. On l'avait pas vue v'nir tu penses !

On aurait du parier un million de dollars.

Evidemment que je n'ai pas été à la piscine.

Et pourtant, ça partait bien... J'avais même appelé La Dame de la Piscine pour savoir si c'était ouvert (des fois qu'une horde de Gremlins l'ait loué pour la journée).
Une fois chez moi post-taf j'ai sauté dans mes maillots de bain.
Et j'ai pu constater l'échec :

J'aurais ptêtre du bien les rincer de chlore et de soleil avant de les ranger dans mon tiroir. Ils était tout sec et cassant et bizarrement grumeuleux.

Erk.

Un a fini à la poubelle.

Et l'autre... Faudrait que je raccourcisse les bretelles. Mais j'ai jamais fait ça. Alors ça attendra. 
(Oui, le Saint-Esprit de la couture, que sais-je ?)

Donc.
Hier.
Post-constatation d'échec... J'ai FAILLI bouger mon cul "en ville" pour aller écumer les magasins de maillots et pleurer devant mon corps loukoumesque.

J'ai pas bougé un gramme.
J'ai chouiné en pensant à L'Autre Tocard et j'ai maté 2 épisodes de Grey's Anatomy.

Pa.Thé. Tique. 

Publicité
Publicité
2 juillet 2012

Gros légume

15h22

Je n'ai absolument rien bossé de la journée... À part me contrôler pour éviter de chouiner... J'essaie de me maintenir. De résister à l'envie de m'allonger sous le bureau en position fœtale...

Et là, j'hésite à me barrer tôt pour rentrer chez moi.
Au choix :
2 épisodes (déjà vus) de Grey's anatomy
Ou
Une épilation de gros poteaux qui servent de jambes pour aller à la piscine (plus été depuis des années)
Ou
Ménage
Ou
Mettre de la musique triste, chialer, regarder pathétiquement mon profil AUM et me dire que je suis condamnée à être seule.

Bordel.

C'est pathétique.

Chouiner, ne rien foutre ou me bouger un peu le gros cul.

J'en sais rien.


Est-ce que je vais oser aller à la piscine ?

 

2 juillet 2012

Ça chouine, ça chouine

+ 3 jours

J'hésite. Je cherche mes mots. Ce qu'on peut dire ou ne pas dire... Mais à-priori, si j'ai choisi ce format, c'est pour dire.

Alors je le dis : vendredi soir, il m'a jetée.

Très clairement. Avec un "Je ne t'aime plus, nous sommes trop différents" et là, je l'ai vu abattre toutes les cartes du Parfait Largueur :

- "Ce n'est pas toi, c'est moi"

- "Tu es une femme sensible et intelligente et belle" et blabla

- "Je suis désolée" et j'en passe.

- "Tu mérites quelqu'un qui t'aime telle que tu es"

...


Ça devait être l'homme de ma vie.

Ce n'est qu'un meutrier. On ne parle pas de babies, d'appart à 2, de mariage... On ne présente pas ses parents, on ne booke pas des billets d'avion ensemble pour Octobre dans la même semaine où on me largue.

Du grand n'importe quoi.

À pleurer. À s'enfermer sous la couette. À se lobotomiser devant des séries ou n'importe quelle daube télévisuelle.

À ne pas manger. À trop manger. À s'en foutre.


...


Ainsi commence ma semaine.

Vendredi 30 juin 2012, un homme de 34 ans, de type caucasien a tué une femme de 29 ans, de type caucasienne avec un gros cul.

*RIP*

 

 

Publicité
Publicité
Pleure, tu pisseras moins.
Publicité
Archives
Publicité